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Le CNED en expatriation, une option ? Mais surtout une école pas comme les autres.

 Le CNED en expatriation, une option ? Mais surtout une école pas comme les autres.

Le CNED, Centre National d’Enseignement à Distance est une académie en ligne dirigée par l’Éducation nationale française. Loin de déscolariser vos enfants, ce service propose exactement les mêmes programmes que ceux dispensés dans une école dite « classique ».
Le CNED s’adresse tout particulièrement aux familles expatriées qui éprouvent des difficultés à intégrer leurs enfants dans les structures de leur pays d’accueil.
Vous avez besoin d’éléments pour vous aider à vous décider ? Voici le retour d’expérience d’un papa dubaïote, face aux remarques de parents un brin angoissés… Alors, relax !

1 – « Il faut une rigueur indispensable »

On ne vous dira pas le contraire : scolariser ses enfants au CNED réclamera une très grande rigueur de la part des parents. L’année scolaire comprendra environ 200 jours de travail durant lesquels il vous faudra envoyer plus de 150 évaluations et étudier plusieurs centaines de leçons.
Pour y arriver, les parents disposeront d’une dizaine de guide pédagogique. Il en existera un par matière. Ils seront également soutenus par des enseignants avec lesquels ils échangeront très régulièrement.
Les corrections d’évaluation vous seront retournées paraphées de précieux commentaires. Dans le même esprit, la plateforme du CNED proposera le « Forum des parents », un espace où ces derniers s’échangeront de judicieux conseils.

2 – « Je ne sais pas si j’aurais la patience… »

Nous avons en tous en mémoire le sketch de Florence Foresti sur les devoirs ou le billet d’humour de Sophie du mois dernier ! En effet, si l’enseignement n’est pas dispensé dans un cadre calme et très organisé, cela peut très vite tourner au fiasco et à la farce. (Puisqu’on parle de farce, vous constaterez que cet article s’articule autour de six citations relatives à l’enseignement. A vous de devinez qui en est l’auteur ! La réponse ne vous sera donnée qu’à la fin.)

3 – « Je n’enseigne rien à mes élèves, j’essaye simplement de créer les conditions dans lesquelles ils peuvent apprendre »

Les deux tiers du temps, votre enfant apprendra tout seul. Vous n’interviendrez que pour lui expliquer la leçon et pour corriger des exercices. Un élève peut travailler efficacement pendant plus d’une heure, mais s’il a moins de 12 ans, sa pleine attention ne dépasse guère les 30 minutes. Avec l’enseignement à distance, il est préférable d’organiser 4 séances journalières d’environ 60 minutes, espacées de pauses d’une demi-heure.
En effet, les enfants ont cette capacité très enviable de récupérer très vite.

4 – « C’est le rôle du professeur d’éveiller la joie de travailler et de connaître »

S’il aime la matière, alors c’est gagné ! C’est malheureusement aussi simple que cela. Assis sur nos genoux, la plupart de nos enfants ont appris l’histoire de cette grenouille qui fait des bonds à droite (l’addition) et qui fait des bonds à gauche (la soustraction). Le simple fait de savoir rendre des matières intéressantes, suffit à faire de vous un(e) excellent(e) pédagogue.
Ainsi, en ce qui concerne le français, n’hésitez pas à plonger votre fils dans l’œuvre d’Alexandre Dumas et à faire découvrir à votre fille les intrigues de la cour dans « la princesse de Clèves ».
Grâce à la lecture, ils s’exprimeront très rapidement avec un vocabulaire soutenu, construiront des phrases correctes et maîtriseront l’ensemble des règles de grammaire.

5 – « Il n’y a pas d’échec, il n’y a que des abandons »

Votre enfant commencera sa journée par une évaluation. Seul(e) face à sa copie, il (elle) devra, durant 60 à 90 minutes, retranscrire ce qui lui a été enseigné. Avant de la scanner et de l’envoyer sur la plateforme, une lecture en diagonale vous permettra de vous donner une idée de la réussite des exercices. Si ce n’est pas le cas, n’abandonnez pas et recommencez la leçon. La seconde version de l’évaluation sera surement meilleure !

6 – « Si vous n’êtes pas capable d’expliquer un concept à un enfant de six ans, alors c’est que ne vous ne le comprenez pas complètement »

Souvent, il faudra réévaluer vos propres connaissances. Soyez indulgent(e) envers vous-même car vous n’êtes pas seul(e) à confondre la Lettonie et la Lituanie, la Slovaquie et la Slovénie, Budapest et Bucarest. Nous sommes très nombreux à faire des fautes d’orthographe, alors que nous sommes très peu nombreux à connaitre les nombres premiers.
Heureusement, il n’est jamais trop tard pour apprendre et la plateforme du CNED est là pour cela.

7 – « Tout le monde est un génie, mais si vous jugez un poisson sur ses capacités à grimper à un arbre, il passera sa vie à croire qu’il est stupide. »

Rappelez-vous qu’ils sont tous différents, qu’ils ne peuvent pas être excellents dans toutes les matières et qu’il n’existe pas deux écoliers identiques. Cela suppose de s’adapter à chacun d’eux. Contrairement à un enseignant, vous n’avez qu’un ou deux élèves. Vous êtes face à face, les yeux dans les yeux. C’est votre enfant et vous le connaissez par cœur.
Très rapidement, vous détectez les sujets qui lui sont difficiles alors que sur d’autres matières, vous ne tardez pas à voir bourgeonner son véritable potentiel.
Chez chaque enfant, il y a un champion. A vous de découvrir les domaines dans lesquels il excelle. Ainsi, opter pour le CNED peut vous permettre de vous attarder sur certaines matières, que ce soit pour le soutenir dans ses difficultés, ou pour nourrir des compétences qui ne demandent qu’à croître.

8 – « Je n’ai aucun talent spécial, je ne suis que passionnément curieux. »

Voici sans aucun doute l’une des clefs de la réussite professionnelle ! Ainsi, si votre enfant se passionne pour un sujet, il va vous inonder de questions. Loin d’être un problème, cette curiosité est la bienvenue ; c’est pourquoi il ne faut jamais briser cette dynamique en laissant des interrogations sans réponse. Les sujets peuvent être littéraires, liés à l’histoire, aux sciences… Très rapidement, vous vous apercevrez qu’enseigner, c’est avant tout échanger sur des thèmes passionnants. 

Avez-vous aimé les huit citations ? Elles sont l’œuvre d’un ancien mauvais élève, qui a commencé à parler à l’âge de quatre ans. Le moins que l’on puisse dire, c’est que le petit Albert Einstein a déjoué tous les pronostics.
Celui qui enfant, était promis à un avenir médiocre, est devenu, contre toute attente, le père de la théorie de la relativité. Aussi, profitons-en pour relativiser ensemble.

Pour certains, instruire son enfant est une tache ardue, pour d’autres, c’est un immense privilège. Il n’y a pas de mauvais parents, il y a ceux qui ont du temps et ceux qui n’en ont pas assez. Un chef d’entreprise qui travaille chez lui ou un parent au foyer aura évidemment un avantage. Quoi qu’il en soit, rappelons-nous que nous ne pourrons jamais tout sous-traiter auprès de nos excellents enseignants français. Ces derniers ne sont pas en charge de leur éducation, mais de leur instruction. L’éducation, ce sera toujours nous.

Que ce soit pour inscrire vos enfants dans le cadre d’une scolarité complète ou pour offrir un soutien en français ou en histoire à un élève expatrié, sentez vous libre de contacter les services de l’académie en ligne au +33 549 49 94 94 ou sur www.cned.fr.

Les inscriptions sont acceptées jusqu’à la fin du mois d’octobre ! Bonne rentrée et bons partages !

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