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Les pleurs du bébé et du jeune enfant

Comment interpréter les pleurs de son bébé ?

Des pleurs, que des pleurs, des lamentations, des larmes et des larmes, parfois ponctuées de cris. Quel défi ! Devant nos petits anges qui grandissent, nous sommes souvent sans défense, attendries par leurs espiègleries ou par leurs fourberies, nous cédons parfois à leurs volontés ou à leurs caprices.

Comment interpréter les larmes de son enfant et les pleurs de son bébé ?
Voici la réelle question que l’on peut se poser lorsque l’on est maman pour la première fois ; savoir traduire chez l’enfant la signification de ces pleurs et en comprendre les causes chez le tout petit n’est pas si simple.
Mais rassurez-vous, jeunes et  » nouvelles  » mamans !

Cette interrogation se pose parfois également à celles expérimentées bien qu’elles savent en général déceler plus rapidement le problème de leur bébé ou ce que le jeune enfant a voulu exprimer. Leur connaissance étant plus affinée, leur culpabilité, si elle existe, en est beaucoup moins affectée.
Une meilleure compréhension et une indulgence appropriée peuvent aider les mamans à calmer leurs petits chérubins.

En effet, quelle joie et quel soulagement ressentons-nous lorsque nous avons réussi à résoudre le malaise et lorsque nous avons pu comprendre l’origine du désarroi passager que l’enfant a voulu nous montrer.
Par conséquent, quels moyens utilisés pour arrêter cette musique de fond pénétrante et parfois incessante que subissent nos oreilles délicates ?

Chez le bébé, les pleurs sont l’un des moyens de communications dont il dispose vis a vis des personnes qui l’entourent. Et comme ce petit être ne manque pas d’intelligence, il va changer ses plaintes avec des sonorités différentes correspondantes à ses diverses souffrances.

Mais comment les différencier ? Quelle est la cause de son chagrin ? C’est là que toute maman fait appel à son intuition maternelle.
Le prendre dans les bras, le calmer et lui chuchoter avec douceur dans l’oreille des paroles agréables, lui fredonner un air, ou lui dire tout simplement qu’on l’aime, consoliderait une grande complicité.
Notre voix apaise et rassure le nourrisson ainsi que le jeune enfant. Sa sonorité le calme et le rend heureux.
D’où l’importance de la voix ou de la musique comme  un des  » substituts  » utilisés pour calmer notre bébé.

Mais sommes-nous sûres que certains  » substituts  » soient efficaces ou au contraire sont-ils nuisibles pour son évolution personnelle, qu’elle soit affective ou psychologique ?
En effet, on a aussi souvent recours a un objet ou à un aliment pour fermer le  » clapet  » de nos petits chéris l’âme en peine.
Ce qu’il faut éviter c’est avant tout de perdre patience. Donner systématiquement, par exemple des biscuits ou des friandises lorsque l’enfant pleure n’est pas une solution favorable ; il associerait la nourriture à sa frustration. Un tendre câlin assurerait inévitablement une meilleure atmosphère.
D’autre part, lui crier dessus sur un air renfrogné ou le réprimander injustement pourrait engendrer de l’agressivité de sa part.
La tétine par exemple, aide le nourrisson à se sentir bien, il a un besoin de téter, car la succion est un phénomène naturel chez les bébés.
C’est un  » substitut  »  qui n’est pas nuisible. Aujourd’hui, les tétines sont conçues avec l’aide des pédiatres et des dentistes pour respecter la physiologie de l’enfant.
Aussi, fréquemment le nourrisson comme le jeune enfant sucent le pouce ou le doigt.
Enfin, le  » doudou  » est l’objet de  » réconfort « , le  » substitut  » de prédilection !

Ces  » substituts  » accompagnent nos enfants  au quotidien, mais encore faut-il savoir gérer leur utilisation ? Ils ont une grande importance à leurs yeux, peut-être encore plus si la maman est souvent absente  pour diverses raisons (travail, voyages, etc…).

C’est la raison pour laquelle une maman disponible comble de bonheur les enfants. Qu’elle soit présente à chaque étape, qu’elle puisse le voir évoluer et progresser dans ses premiers balbutiements de langage ou autre, reste un plaisir partagé.
Finalement,  que faire pour cicatriser les  » plaies  » de nos enfants ou pour satisfaire sans cesse le besoin affectif de nos bambins, tout simplement les AIMER, voici une clé.



Stéphanie Ba

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